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 Lissa Dragomir

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Célébrité : Ashley Benson
Crédit : karen-kun (Virginia)
Âge : 17 ans
Statut : Etudiant
Options : art slave ; échecs
Localisation : A l'académie
Messages : 15

Lissa Dragomir
Lissa DragomirFondatrice
MessageSujet: Lissa Dragomir   Lissa Dragomir Icon_minitimeDim 16 Sep - 17:03

I'm just a girl, I won't be changing the world
Its not the wings that makes the angel, just have to move the bats out of your head





¤ Identité ¤
Être ou ne pas être tel est la question...




Nom :
Dragomir

Prénom :
Vasilisa Sabina Rhéa

Âge :
17 ans

Race :
Moroï





¤ Particularités ¤
Tous un peu les mêmes, tous un peu différents





Je me suis spécialisée dans l'esprit, plus particulièrement dans la guérison. De ce fait je peux soigner les gens que je touche ainsi que les ramener à la vie. Je suis également la dernière descendante des Dragomir.



¤ Personnalité ¤
C'est notre caractère qui fait de nous ce que nous sommes.



D’après Rose je suis trop gentille, je ne pense pas qu’être mauvaise avec les autres soit la solution. Je déteste blesser les gens bien que certains ne se gênent pas pour essayer de me faire du mal. Rose est toujours présente pour me défendre. Et moi je suis toujours là pour réparer ses bêtises juste après qu’elle se soit emportée. Je suis prête à n’importe quoi pour mes amis et les gens que j’aime, même à dépenser des sommes extravagantes. Je suis de nature empathique, et si un de mes proches se sent mal, automatiquement je me sentirais mal aussi. Rose me trouve assez naïve, je considérerais plutôt que je ne me méfie pas assez des gens. Malgré ce que les gens peuvent me faire, je pardonne toujours et ne suis pas très rancunière, au grand désespoir de Rose. Je considère que tous le monde à le droit à une seconde chance, voir une troisième. Après tout, tous le monde fais des erreurs, et personne n’est parfait, pas même moi. Je ne suis pas orgueilleuse et ne me vante jamais. Les gens disent souvent que je suis très modeste. Je déteste les rumeurs, et ne participe jamais à leur diffusion. Je ne comprends pas comment les gens peuvent vouloir créer des problèmes à des personnes qui n’ont rien demandé, comme par exemple moi et mon amie quand nous avons fugué. Lorsque je suis bourrée, le coté sombre de ma personnalité ressort et je suis capable de faire certaines choses que je ne ferais pas en temps normal. Les conséquences sont les même lorsque j’utilise le pouvoir de l’esprit. Celui-ci menace souvent de me rendre folle, c’est pour cela que je ne l’utilise qu’en grande nécessité

¤ Apparence ¤
Si l’habit ne fait pas le moine, c'est pourtant lui qui fait la première impression que l'on a des gens.



Mes cheveux sont de couleur blond platine, couleur assez banale chez les Moroï bien qu’exposé à la lumière des néons de l’académie, Christian trouve qu’ils se diffèrent des autres par leurs reflets couleur or. Ils sont légèrement ondulés, créant un effet de volume, et arrivent juste qu’à la taille, le plus souvent détachés, cascadant sur mes épaules comme des petites vagues. Comme tous les Dragomir, je possède les yeux d’un vert-jade que m’envient beaucoup de monde surtout Rose (sans me vanter bien sur, pas comme l’égo surdimensionné de ma meilleure amie si vous voyez ce que je veux dire). Ma peau claire, caractéristique à celle des gens de mon espèces, ce différencie de celle des Dhampir, le plus souvent bronzé. Je possède un visage de forme ovale. Lorsque je souris, on découvre mes canines, tranchantes comme une lame de rasoir. De taille, je suis assez grande comparé aux humains et mesure une tête de plus que Rose et je suis aussi légère qu’une plume. Ma silhouette est très fine, comme tous les Moroïs. Je soigne tout le temps mon apparence, étant la dernière Dragomir il faut que je sois digne de mon rang. L’argent hérité de ma famille me permet de m’acheter des affaires assez chics, et par la même occasion d’offrir des robes a Rose lorsqu’elle m’accompagne lors des bals organisés, et de la remercier pour ce qu’elle fait pour moi. Je dois avouer que devoir faire attention à son apparence tout le temps, cela deviens lassant. Mais je me dois de représenté dignement mes ancêtres.




¤ Histoire ¤
Pas de passé, pas d'avenir.



Dès lors ma naissance, ma mère est passée près de la mort. Mais grâce aux progrès de la médecine moderne, les médecins ont réussi à faire rebattre son cœur qui s’était arrêté. L’accouchement s’est donc bien passé malgré les quelques complications qu’il a entrainé. A l’âge de 3 ans, j’ai rencontré Rose à l’école Saint Vladimir. Alors que nous nous sommes retrouvées punis à cause d’un autre garçon de la classe, Rose, en voulant me défendre, s’est mise à insultée le professeur. Déjà, elle me défendait sans me connaître et ne souciait pas des conséquences. Très vite, nous sommes devenus très complice, les gens nous comparant au yin-yang. Nous sommes complémentaires. Très vite, j’ai appris à être à la hauteur de mon rang même si mon frère André était lui seul destiné à devenir prince, étant mon ainé. Jusqu’au jour où tout bascula. Sortis pour faire les boutiques, nous rentrions sans se douter de ce qui allait se passer lorsque le drame survenu. La voiture sortis de la route en quelques secondes et, au milieu de tonneaux, je ne comprenais se qui était en train de se déroulé. Dès que les secousses s’arrêtèrent, je regardait autour de moi et vis ma mère, ensanglanté, les yeux levés vers le ciel, inspirant une dernière bouffé d’air avant d’expirer. Je ne parvenais pas à distingué mon père à travers la fumée mais du sang coulait de sa place et l’absence de réaction de sa part ainsi que de celle de mon frère à coté de moi dont le pouls ne battait plus, me confirmait déjà mon intuition, toute ma famille était morte. Un grand silence régnait dans la voiture. Je ne pouvais imaginer perdre ma famille en quelques instants, me retrouvé seule. Je me rappelais encore les moments de joies, mes anniversaires et leurs visages joyeux lorsque pour les vacances je rentrais de l’académie. Désespéré, je me tournais vers Rose et la mon horreur grandis encore d’avantage. La vitre cassée, sa tête était pleine de sang et je parvenais à voir des morceaux de verres planté dans son crâne. Le bras tordu de telles façons qu’il était probablement cassé. Je ne sentais pas non plus sont cœur battre et ses yeux ouverts et vide d’émotions qui d’habitude reflétais sont effronteries et sa colère dès qu’une personne avait le malheur de venir m’embêter m’emplirent de terreur. Je pleurais, pleurais de peur et d’amertume envers la mort si cruelle et malfaisante qui m’avait en quelques secondes, retiré ce que j’avais de plus chère. La tête me tournait mais la crise de nerf sur laquelle j’étais sur le point de céder m’empêchait de sentir mes multiples blessures bien que je sentais mon sang se vider. Perdue, j’attrapais Rose et la secouait, la priait de revenir, mes larmes m’aveuglant. Quelques secondes et pas une de plus, et ils avaient tous perdu la vie. Quelques secondes. Un brouillard noir emplit ma vision et je m’évanouis. Je me réveillais dans une salle d’hôpital, je ne savais pas combien de temps s’était écoulé depuis l’accident. Seule dans une grande chambre avec pour seul bruit le bip d’un moniteur cardiaque, je commençais à pensais que j’allais finir par devenir folle étant donné que les deux seules personnes que je vis de la journée fut une infirmière m’apportant une source. Le jour suivant, j’étais persuader être devenu complètement sénile. Lorsque je m’éveillais je vis Rose endormis dans un siège voisin de mon lis. Et je me mis à pleurer, pour le souvenir de ma meilleure amie aujourd’hui morte. Je ne la reverrai plus. Jamais. Voilà ma seule pensé en cette instant alors que je pensais être victime d’une hallucination du au calmant ou autre comprimé pris. Mais a partir du moment où Rose se réveilla et s’aperçu que son amie était réveillé et pleurant, elle l’a consola lui assurant qu’elle était bien là et non morte, enfin un vampire est en quelque sorte un mort vivant mais bon. Personne ne comprit comment Rose avait pu s’en sortir, cela relevait sur miracle mais nous nous en fichions, les deux sœurs de sang étaient toujours en vie, et plus rien n’avait d’importance du moment que l’autre allait bien. Je restais longtemps triste, après tout, perdre ses parents et sont frère et perdre puis récupéré sa sœur en quelques secondes n’est pas quelques chose de facile et même une personne solide aurait du mal à garder un esprit clair. Mais comme toujours, Rose était là pour me soutenir. A la la, ce que je parle Rose, elle va finir par développer un culte de sa personnalité, si ce n’est pas déjà fait. Enfin bref, où en étais-je ? Ah, oui, après quelque temps, je finis par accepter ce qui c’étais passé et bien que le souvenir encore douloureux de ce moment me hantais parfois dans mes cauchemars, je parvînt à ne plus fondre en larme en y repensant. Quelque temps plus tard, alors que j’étais devenu populaire et aimée, je commençais à me sentir mal à l’aise. Nous avions séché la dernière heure de cours pour aller dans les bois. Rose avait apporté une bouteille de schnaps. Je n’étais pas très d’accord pour séché les cours et allé boire dans la forêt je mais je décidais quand même de l’accompagner, comme toujours. Nous nous étions installées sur un tronc assez confortable au bord d’une mare dont l’eau avait un aspect verdâtre. La lune était à moitié pleine et n’éclairait pas grand-chose, mais c’était bien suffisant pour la vue d’un vampire et d’un semi-vampire. Rose tenais absolument à connaître tous les détails de la nuit que j’avais passé avec Aaron le week-end précédent et n’arrêtait pas de poser des questions. Puis nous avions entendus un bruit, Rose me proposa de renter et alors que nous nous levions, nous avion pas fait un pas lorsque Mme Karp apparus devant nous en nous bloquant le passage. Elle prit la bouteille des mains de Rose et partis en direction de l’académie, nous sur ses talons. Soudain un bruit provenant de notre droit nous fis nous arrêter. Il s’agissait grand oiseau noir qui gisait sur le sol et agitait faiblement ses ailes. Son plumage était luisant et son bec énorme. Il avait frissonné une dernière fois, avant de complètement cesser de bouger. Mme Karp et Rose était en train de discuter, mais je l’ai écoutaient à peine le regard rivé sur Corneille. Je m’étais agenouillée, pleine de compassions et tendue la main vers ce petit animal qui était mort devant mes yeux en quelque secondes. Je lui caressais l’aile lorsqu’une sensation étrange, merveilleuse, avait envahi mon corps et la Corneille avait bougé. J’avais retiré ma main en lâchant un petit cri. Les yeux écarquillés, nous avions regardé la corneille battre des ailes pour se relever, puis se tourner vers moi avec un regard qui nous avait semblé beaucoup trop intelligent pour un simple oiseau. J’en avais éprouvé un léger malaise. Après quelques instants interminables, la corneille avait détourné les yeux et s’était envolée. Mme Karp m’avais tiré par le bras pour la forcer à la regarder et m’avais dis « Il ne s’est rien passé ! Tu m’entends ? Rien. Et tu ne dois en parler à personne, personne. Toi non plus, Rose. Promettez-le-moi ! » Nous avions promis bien évidemment, ce qui l’avait un peu apaisé. « Et tu ne dois surtout pas recommencer. Ils le découvriraient et ils essaieraient de se l’approprier. Tu ne dois pas la laisser faire, Rose. Jamais. » Après ce jour, quoique je fasse je me sentais observée, où que j’aille au sein de l’académie. Prise de panique, Rose organisa alors notre évasion et nous partîmes la nuit même. Pendant longtemps avons réussis à rester caché des gardiens qui nous traquaient sans relâche pour retrouver la « Princesse Dragomir » en fugue. Nous avons donc du changer beaucoup d’endroit et ne pas se faire remarquer. Mais au bout de deux années de « cavale » si je puis dire, nous nous sommes faites piégées comme des bleus et retrouvées par les gardiens de l’académie, dont mon gardien et futur mentor de ma très chère Rose : Dimitri. Arrivée à St Vladimir en avion, la directrice Kirova n’était pas très contente. Mais elle accorda à Rose et moi une seconde chance. Malheureusement, beaucoup se posaient des questions du genre « comment avaient vous fais pour ne pas vous faires attraper ? » ou « comment t’es –tu nourris ? » et les regards curieux et intrigués braqués sur nous toute la journée n’étaient pas sympathique. Plus spécialement une fille du nom de Mia qui m’en voulais tout particulièrement, ne me demander pas pourquoi, je n’en savais rien à ce moment là. Mais comme toujours Rose décida de me protéger et Mia, faute de s’en prendre à moi, se rebattu sur celle-ci. Beaucoup de rumeurs furent lancées à notre sujet et n’étaient pas très valorisante, dont une visant tout particulièrement ma meilleur amie la traitant de catin rouge. Une journée, voulant m’échapper des regards en coin des élèves de l’académie, je me rendais au grenier de l’église, un endroit où je me rendais souvent avant ma fugue pour être seule couper de tout le monde. Mais ce jour là, je fus surprise de surprendre Christian Ozéra dont j’avais complètement oublié l’existence depuis que mon retour. Ces parents, s’étant transformé en Strigoï, tout le monde le traitai comme un renégat du au fait que les membres de la famille Ozéra sont considérés comme des parias. Nous commençâmes à discuté et nous avions décidé de partager cette endroit. Jamais personne ne lui adressait la parole, mais finalement il n’était pas méchant, juste mépriser pour quelque chose qu’il n’avait pas demandé. Et il faut avouer qu’avec son teint pâle, ses yeux bleu-clairs ainsi que ses cheveux d’un brun foncé presque noir, il était plutôt pas mal et son perpétuel sourire de rebelle avait quelque chose d’électrisant. Etant spécialisé en feu, je pouvais sentir à cet instant précis la chaleur émaner de son corps pour réchauffer la pièce et des frissons me parcourais de la tête aux pieds. Il reflétait une image ténébreuse, mais n’avait rien d’un Strigoï et la douceur dans sa voix me rassurais. Quelque chose chez lui m’attirais comme un aimant bien que ses commentaires sarcastiques m’agaçaient profondément. Mais cette amitié ne plaisait pas à Rose qui préférait Aaron, mon ex et le petit-ami de Mia. Elle me conseilla de faire profil bas et de ne rien me mêlé en restant avec Nathalie Dashkov, la fille de mon oncle Victor et ancienne connaissance pour, comme elle le dit très bien : éviter les embrouilles entre « populaires ». Je partageais une chambre avec celle-ci nous nous entendions très bien, nos caractères étant semblables. Les gens disaient dans mon dos que la « Princesse Dragomir » n’était plus l’étoile mondaine d’autrefois et s’était avachie mais je m’en fichais. Cependant avec tout ce qui se passait en ce moment Rose était à bout et je voulais intervenir pour faire en sorte que nos persécuteurs la laisse tranquille. Un dimanche Rose avait été autorisé à assisté à la messe, et alors qu’elle venait de se terminer, Rose et moi sortions de la chapelle lorsque de la neige nous tombas dessus, nous mouillant jusqu’aux os. Mia arriva, rigolant et se moquant comme d’habitude, pendue au bras d’Aaron, ils avaient visiblement échappé miraculeusement à la mini-avalanche. La spécialisation de Mia étant l’eau, Rose la soupçonnait d’être responsable et à vrai dire, je pensais la même chose, de plus le sourire suffisant qu’elle arborait en cet instant n’était pas anodin mais sans aucune preuve, impossible de faire quoi que ce soit. Deux semaines plus tard, je me rendais dans ma chambre lorsque je découvris sur mon lit un renard. Il avait une jolie fourrure rousse et le bout de la queue blanc, j’aurai pu avoir envie de le prendre dans mes bras s’il n’avait pas été égorgé et pris de convulsions. Du sang s’étalait partout sur la fourrure. La gorge ouverte et les yeux vitreux, mon horreur fasse à ce spectacle dégoutant grandis. J’essayais de le sauver, comme la colombe donc j’avais été capable de guérir quelques années plus tôt cependant je ne réussis pas, il y avait beaucoup trop de sang. Heureusement Rose et Dimitri arrivèrent à ce moment là et bientôt la directrice Kirova, la surveillante de l’étage et Nathalie entrèrent dans la chambre. Rose me consolais autant qu’elle le pouvait. Après l’incident, la curiosité des gens ne faisait qu’empirer les choses et mon humeur. Je ne m’étais toujours pas remise lorsque Rose me retrouvai pour déjeuner au réfectoire. Natalie ne put s’empêcher de parler du renard pendant tout le repas, ce qui assombrit encore mon humeur. Apparemment, la gentille Natalie avait réussi à surmonter son dégoût et profitait de l’attention générale que l’incident lui attirait. Pendant le cours sur le comportement animal, Mia posa volontairement une question au sujet de renard et passa tout le temps des exercices qui suivirent à pouffer en regardant dans notre direction. Des images de renard égorgé me revenaient à l’esprit. Puis quelqu’un m’interpella. Il s’agissait de Ralf Sarcozy qui s’était arrêté devant notre table et surement après un stupide pari, se fichait de moi et m’accusai d’avoir égorgée moi-même le renard. Rose commença alors à me défendre comme a son habitude lorsque sans prévenir, Ralf pris littéralement feu et hurla à en réveiller un mort. Les flammes grandissaient de plus en plus. Puis les flammes disparurent aussi subitement qu’elles étaient apparues. Ralf ne présentait aucune trace de brûlure et une légère odeur de fumée nous empêchait de croire que nous avions tous rêvé. Les seuls spécialistes du feu présent dans la classe n’était autre que Ralf, un de ses amis appelé Jacob et Christian. Le fait que ce dernier riait aux éclats prouvait sa culpabilité. Mme Meissner, le professeur, lui hurla dessus et l’envoya chez Mme le proviseur. Christian ne semblait éprouvé aucun remord et sorti de la salle d’un pas serein. Le reste du cours se passa dans le brouhaha général, tous le monde n’avait plus que l’accident à la bouche et le faite que Christian connaisse un sort offensif et l’utilise contre un autre Moroi faisait beaucoup parler de lui. Après cela, Rose essaya de me persuader de ne plus revoir Christian, bien que cela ne marcha pas. Quelques heures plus tard, je me rendis au grenier de la chapelle, je ne pensais pas qu’il serait là car le proviseur avait surement du le consigné à sa chambre, alors qu’il m’attendait déjà. Je le réprimandais donc pour ce qui s’était passé en cours mais lorsqu’il avoua qu’il l’avait fait pour moi, quelque chose s’éveilla en moi. Cet excès de générosité éveillait en moi des sentiments pour le moins ambigus que je n’étais pas censé éprouvé pour lui. La conversation commençais à devenir animé, mais lorsque je lui demandais si il tenait ce sort de ses parents son sourire disparus et ses yeux sombres et ses traits durs m’auraient d’ordinaire effrayé, mais je dois avouer qu’en ce moment, seul dans cet endroit, je ne l’en trouvais que plus beau, vulnérable, et notre proximité me troublait. Je m’excusais donc mais lorsqu’il m’accusa d’utiliser la suggestion, je niais en bloc et la conversation repartis de plus belle. Le lendemain, nous étions le 1 novembre et la reine Tatiana en personne ainsi qu’un groupe de noble venaient rendre visite à l’académie. Une célébration était prévue et n’ayant que peu d’affaire j’empruntais une robe à Natalie bleue, soyeuse et sans bretelles qui mettaient mes cheveux blond platine en valeur. Lorsque la reine apparu, elle salua les personnes présentes. Lorsqu’elle s’arrêta devant moi, son discours flatteur à propos de mon nom finis par me reprocher ma fugue et bien que le ton mesuré, la gifle verbale qu’elle m’adressa provoqua la stupeur générale. Après ceci, je me sentais mortifié et je voulais absolument partir d’ici. Nathalie et Rose essayèrent de me remonter le moral en vain. Et bien évidemment Mia ne perdit pas de temps pour se moquer de moi mais Rose fit en sorte qu’elle me laisse tranquille. En allant me coucher, je trouvais en plein milieu de ma chambre un lapin. Il y avait du sang partout. C’était comme s’il avait explosé. Je ne voulais pas que Natalie le voie, que ça lui fasse peur alors j’ai tout nettoyé puis paniqué. Alors attrapant ma lame de rasoir, je me fis des entailles parallèles au poignet, la douleur me ramenant à la réalité lorsque les problèmes me dépassaient. Du sang me recouvraient partout et j’étais sur le point de céder à une crise de panique mais Rose arriva et m’aida à nettoyer mes poignets. Dimitri et la surveillante de l’étage resté à la porte entrèrent. Personne ne comprenait comment le lapin avait pu atterrir la. M’amenant à l’infirmerie pour que je puisse me reposer, la directrice arriva et Rise obtint la permission de reste avec moi. Dès qu’ils eurent tous quitter la chambre de l’infirmerie, je pleurais, c’étais la goutte de trop. Rose me dit qu’il fallait repartir mais pour moi fuir ne résoudrait rien. Une journée plus tard, Mia avait encore décidé de nous chercher et Rose s’en pris beaucoup à la figure. Elle pleura bien qu’elle ne voulu pas me l’admettre Je n’avais jamais vu Rose pleurer comme ça et cela me fis mal au cœur. Pour moi s’en était trop. Je décidais donc d’utiliser la suggestion sur les Moroï et les Dhampir qui nous méprisaient pour faire en sorte d’être de nouveau accepté et qu’ils laissent Rose en paix. Celle-ci détestait que j’utilise ce pouvoir, voilà pourquoi je ne l’utilisais qu’en son absence. Le résultat fut lent mais peu à peu des Moroï de sang noble venaient me voir juste pour me saluer ou pour manger avec nous. Pendant un cours de littérature américaine comme la plupart des élèves, je ne travaillais pas et après avoir persuadé Camille Conta que Rose n’était une catin rouge et de m’inviter à réviser avec Carly et celle-ci pour le contrôle de Mattheson dans la soirée, Christian apparu derrière moi. Ce qu’il lui prenait en ce moment, je ne le savais pas mais pourquoi faisait-il semblant d’être mon amie un jour pour me traiter, sans raison, comme une étrangère le lendemain. Le laissant, je me dirigeais vers un petit groupe de nobles.
Je gagnais le soutien des Moroï de sang royal, l’un après l’autre. Je ne pouvais pas employer la suggestion de groupe, mais la méthode individuelle était tout aussi efficace. Et nombreux étaient ceux qui n’avaient pas besoin d’être contraints pour recommencer à me fréquenter, certains se souvenaient encore de la Lissa d’autrefois, m’appréciaient vraiment. Un mois et demi après notre retour à l’académie, c’était comme si nous n’en étions jamais parties. Je recouvrais mon ancienne popularité et dressais les Moroi de sang royal contre Jesse et Mia.
Lors d’une soirée, j’organisais une fête où Camille, Carly, Aaron et quelques autres Moroï de sang royal étaient invités. La musique était poussée à fond et les bouteilles de whisky se passaient de main en main. Je n’avais invité ni Jesse ni Mia. J’envoyai Mason cherché Rose et en l’attendant, buvais au coté d’Aaron, blottis dans ses bras sur un canapé. Ma vision était légèrement brouillé par l’alcool mais je ni prêtais pas attention. J’avais bien entendus utiliser la suggestion bien que je n’eu pas besoin d’en user sur Aaron. Xander, un Moroi, fit des allusions à Rose qui firent monter de la colère en moi. Mélanger à l’alcool cela ne faisait pas bon ménage. Mais Rose réussit à changer de sujet de conversation et Xander se désintéressa d’elle se qui me calma, je reportais donc mon attention sur Aaron. Le jour suivant, en ayant eu vent de ma fête, Mia piqua une crise car Aaron y était allé sans elle et il la plaqua pour moi. Nous étions collés ensemble et bien qu’a l’intérieur je m’ennuyais ferme, je n’en laissais rien paraître. Rose voulais absolument que j’arrête d’utiliser la suggestion, de peur que je devienne folle comme Mme Karp ainsi que la guérison. Je lui promis bien sur. Quelques jours plus tard, J’attrapais Rose devant le réfectoire. Mon oncle Victor venait chercher Natalie le week-end prochain pour l’emmener faire du shopping à Missoula avant le bal et ils m’avaient invitée à les accompagner et d’emmener deux personnes. Bien évidemment j’emmènerai Rose si le proviseur donnait son accord, et Camille. Je voulais montrer à Rose la pair de chaussure que Camille m’avais prêté et me mis à chercher dans mon sac à dos, puis le jeta par terre en hurlant. Tout son contenu se répandit sur le sol : des livres, la paire de chaussures de Camille et un cadavre de colombe. Il y avait tellement de sang qu’il était impossible de deviner où elle était blessée. Sans m’en rendre compte, je tendais la main vers la colombe dans l’intention de la guérir, mais Rose m’en empêcha. Finalement Le proviseur Kirova autorisa Rose à nous accompagner, cela me fis oublier le meurtre de la colombe. La journée se passa sans encombre jusqu’à notre retour, un banc dont le bois était pourri céda sous le poids de Rose et elle tomba la tête la première. Dimitri la dégagea et l’amena à l’infirmerie. Je la soignais sans que personne ne s’en aperçoive et me rendais au grenier de la chapelle. Je me sentais heureuse que Rose n’ai plus rien mais faible. Et j’avais peur, que Rose m’en veuille de m’être servis de mes pouvoirs, d’être obligé de faire semblant d’aimer des personnes, en particulier Aaron. Christian fit irruption et nous nous sommes disputé ce qui me rendit encore plus mal. Dès son départ, je m’emparais de ma lame de rasoir et m’entaillais les bras en évitant les veines, mais les coupures étaient trop profondes et je m’évanouie. A mon réveille j’appris que Rose m’avais dénoncé et je ne voulais plus lui parler. Le soir, une fête eu lieu au réfectoire, en compagnie d’Aaron mon cavalier je discutais avec les autres Moroi de sang royal. J’étais assez anxieuse d’être en compagnie de ses personnes qui n’étaient en faite que mes « marionnettes » comme disait Christian. A un moment, je surpris le regard de Rose et une pointe de regret s’éveilla en moi. Quelques minutes plus tard, mon anxiété vira à l’angoisse lorsqu’Aaron se pencha à mon oreille en me proposant de le suivre dans un endroit plus discret. Et c’est ce moment là que choisis Mia pour se précipiter vers nous. Elle ne perdit pas de temps aux hostilités et me hurla des horreurs au visage, m’insultant et traitant Rose par la même occasion. Je me sentais de plus en plus mal, et elle connaissait visiblement des éléments que Rose avait livrés sur mon passé et même des détails médicaux. Rose avait du sentir ma peur de plus en plus grande car elle mit le règlement de coté et colla son point dans la figue de Mia. On entendit le craquement de son nez jusqu'à l’autre bout de la salle et du sang jailli. Je profitais que tous le monde fixais Mia pour m’échapper et courais jusqu’au grenier de la chapelle. Deux sentiments dominaient mon contrôle : la dévastation, le désespoir. Christian me rejoignis et me calma de sa voix douce. Je compris en plongeant mes yeux vert-jade dans ses beaux yeux bleus clairs que c’était auprès de lui que je voulais être et non Aaron. C’est à ce moment que des hommes et des femmes nous encerclèrent et frappèrent Christian à la tête car il s’était placé devant moi pour me protéger. Il s’étala par terre, mais se releva des flammes au point et un homme lui asséna un nouveau coup qui l’assomma. J’étais en proie à une terreur folle Les agresseurs s’approchèrent en m’appelant « Votre Majesté », et me dirent qu’ils étaient des gardiens. Ils me prièrent de ne pas m’inquiéter. C’étaient des Dhampirs, et non des Strigoïs. Je ne les connaissais pas et pourquoi avaient-ils assommé Christian, puis m’avaient-ils attachée et bâillonnée. Ils me portèrent jusqu’à une voiture très luxueuse aux vitres teintés. Je reconnus un gardien assis au coté du conducteur : Spiridon ainsi que mon oncle assis à coté de moi. Ces gardiens travaillaient pour mon oncle Victor Dashkov. Soudain la voiture s’arrêta devant un chalet, une terreur folle occupait tous mes sens. On me poussa à l’intérieur et me força à m’asseoir dans un fauteuil. Il faisait froid, mon oncle s’assit en face de moi et lorsque je lui demandais ce qu’il me voulait, je fus surprise : il voulait que je le guérisse ! Je niais mais mon oncle savait, et ma surprise grandis encore lorsque j’appris que la gentille et douce Nathalie était la responsable de tous les animaux égorgés. Je sentis de la colère remonté un peu en moi lorsque j’appris que la maladie dont mon oncle était atteint nécessitait des soins constant les obligent à me garder prisonnière, mais la surprise revenu aussi vite lorsque mon oncle me dit que ma spécialisation était l’esprit. Très rare était les personnes le développant, voulait pourquoi on pesait que je ne mettais pas spécialisé. Après mes multiples refus, Victor fis signe à un Moroi de s’approcher. Me voyant secouer encore la tête, mon oncle fit un signe et une douleur fulgurante explosa dans ma tête. Ce spécialise de l’air emplis mes poumons jusqu’à l’asphyxie et je n’eu d’autre choix que d’obtempérer. La vue brouillée par les larmes, j’attrapais les mains de mon oncle et le guérissais. Je sentais mes forces me quitter et m’évanouissais. Je me réveillais quelques minutes plus tard allongé sur un canapé ou un gardien avait surement du me porter. Un seul gardien me surveillais et malgré mon étourdissement lorsque je m’asseyais, je lui souris lorsqu’il me regarda d’un œil méfiant et employais la suggestion pour qu’il ne donne pas l’alerte. Je me dirigeais alors tout doucement vers la fenêtre dans l’intention de m’échapper, après tout s’était surement ma seule chance et je ne comptais pas rester moisir dans ce chalet toute ma vie. Je passais par la fenêtre et bien que épuiser, j’arrivais à avancer. Soudain une meute de psycho-chiens, quatre en tous, m’encerclerai autour d’un arbre. A bout de force, sans défense, je ne faisais pas le poids. A mon grand soulagement, Rose et Christian arrivèrent à ce moment là et les chiens se détournèrent de moi. Ils se battaient bien et très courageusement. Mais Christian n’était pas aussi entrainé que Rose et il fut blessé. Il n’était pas loin de la mort et m’approchant de lui, je me rendis compte à quel point je tenais à lui, mais je n’avais plus de force pour le soigner. Je restais là, affolée, ne le quittant pas des yeux. Puis Rose prononça mon nom et je me tournais vers elle avec surprise, toutes mes pensées tourner vers Christian j’en avais oublié Rose. Elle écarta ses cheveux et me tendis son coup. Je ne compris tout d’abord pas, puis la remerciais d’un sourire et plantais mes canines. Lorsque j’eu terminé, je m’agenouillais près de Christian et alors que mes pouvoirs en traient en action, les blessures de Christian se refermaient sous nos yeux. Il releva alors la tête, et plongeant ses yeux dans les miens, me fis un sourire qui me réchauffa le cœur. Rose à bout de force s’évanouie et nous retournâmes à l’académie. Je restais à son chevet pendant les deux jours qu’elle passa à l’infirmerie. Nous avions du révélé mes pouvoirs de guérison, provoquant la stupéfaction de tous. Après tous ces évènements, Rose et moi redevînmes la meilleurs amies du mon comme si il ne s’était rien passé. Je plaquais aussi Aaron. J’avais pris conscience que la vie était trop courte. Je sortis aussitôt après avec Christian en me fichant de ma réputation. De toute façon, les gens n’arrivaient pas encore à admettre sa présence à mes coté avant de faire des commentaires et de se demander ce qu’il faisait avec moi. Nous n’avions pas peur de nous donner la main en public et j’étais heureuse avec lui, c’était tous ce qui comptait. Après que Nathalie fut transformer sur ordre de son père et attaqua Rose elle fut tuer par Dimitri et Rose retourna deux jours à l’infirmerie. Je passais tous mon temps libre accompagné Christian à son chevet. Après cela, la vie retrouva son cours normale. J’avais cessé de m’entailler les poignets et le médecin m’avait prescrit un traitement qui m’aidait contrôler mon humeur. Je me contentais d’être moi-même a présent et me fichais de se que pouvais penser les autres et le montrait en m’affichant de plus en plus avec Christian en ignorant les regards d’indignations des autres Moroïs de sang royal. Par ailleurs, certains Moroï m’appréciaient vraiment pendant ma période de « suggestion » et ne me tournèrent pas le dos. Bien évidemment, beaucoup me méprisaient et se moquaient de moi dans mon dos et Mia n’était pas en reste. Ma je ne m’en souciais pas et notre gentillesse attirait quelques Moroï si bien que notre cercle d’ami s’élargit. Je finis par avoir un traitement pour bloquer mes pouvoirs, entrainant la disparition de l'angoisse, les délires de persécutions et bien évidemment la dépression qui entrainait chez moi un besoin de m’infligé des entailles. Et je vécu heureuse jusqu'à la fin des temps … enfin, c'est ce qui aurait pu arriver. Mais, depuis quelques jours, je sentais que les médicaments faisaient moins d’effet et j’en avais parlé à Rose qui, surprotectrice comme elle est, avait tout de suite paniqué mais je lui avais assuré que pour l’instant il n’y avait pas de quoi s’affoler. De plus, elle avait une épreuve à passer, alors je ne devais pas l’ennuyer avec mes soucis. Alors que j’étais à la bibliothèque avec Christian, j’entendis une nouvelle qui éveilla en moi un sentiment d’horreur : les Strigoï avaient attaqué une famille royale et tué tous les habitants de leur maison, et ceux-ci avaient probablement été aidés par des humains ! C’est alors que Rose nous rejoignis et quand j’appris qu’elle avait vu de ses propres yeux le lieu du massacre, je m’empressais de changer de sujet. Après tout, pourquoi lui faire ressasser le mauvais souvenir d’un groupe de Strigoï qui peu frapper n’importe où et n’importe quand, effrayant tous le monde et bouleversant les vacances de noël ? Mais le lendemain, j’appris une très bonne nouvelle puisque juste après le jour de noël, toute l’académie se rendrait dans une immense résidence de sports d’hiver dans l’Idaho. Et la journée ne pouvait pas mieux se déroulé quand la tante de Christian, Tacha, nous rendis une visite surprise. Elle était vraiment gentille et nous emmena, bien que cela soit interdit, faire du patin à glace sur une mare gelé, pas loin de l’académie. Je dois dire que je ne me débrouillais pas trop mal et nous fûmes bientôt rejoints par Rose et Dimitri. Nous rentrâmes dans une cabane pas loin et mangeâmes de marshmallow grillés au feu de cheminée, puis je passai la soirée à discuté, d’accord peu être un peu flirté aussi, avec Christian. En rentrant à l’académie, je dois avouer que j’étais pleine d’appréhension puisque Christian m’avait donné rendez-vous le lendemain soir, et ce serait LE grand soir. Le lendemain, la journée passa rapidement et je me préparais pour rejoindre Christian lorsque Rose vint tambouriner à ma porte, avec un œil au beurre noir. Mais ce qui me consterna c’est en apprenant que la personne à l’origine du coup n’étais autre que sa mère. Je l’a calmais comme je pouvais puis nous nous mimes à parler de tous et de rien. Enfin l’heure du rendez-vous était arrivé et je laissais Rose pour rejoindre le grenier de l’église où Christian m’attendais. Je sentais que mon cœur battait sous l’effet de l’excitation et j’avais tellement hâte de simplement, le voir, le toucher, l’embrasser. J’arrivais juste à temps pour voir la pièce entouré de bougies dégageant un parfum enivrant de lilas, et Christian se tenait au milieu de la pièce, me souriant. Il m’embrassa pendant un moment, jusqu’à ce qu’il déboutonne mon chemisier. Ce n’était pas ma première fois, pourtant peu m’importait, je savais que j’avais trouvé le bon cette fois-ci. Alors je le laissais faire et pour une fois depuis un bon moment, profitais de ce moment de bonheur. Enfin quelques jours plus tard, Tacha m’invitât à son repas de noël, auquel bien sur je me rendis, heureuse de pouvoir passer un moment avec Christian. Je sentais que depuis le fameux soir, nous étions de plus en plus proches et mes sentiments s’intensifiaient. Au moment des cadeaux, j’offrais à Rose un chotki qui avait appartenu au gardien de mon arrière-grand-mère et la joie que je pouvais lire dans son regard ne fis qu’amplifié mon bonheur. La soirée n’aurait pas pu mieux finir lorsque Christian me raccompagna, tel un gentleman. Ce fut sans doute un des meilleurs noëls. Enfin, le lendemain de noël, le jour des sports d’hiver était enfin arrivé. Nous nous rendîmes à notre destination en jet privée, et je passais le voyage les yeux dans les yeux avec Christian. La résidence était magnifique et luxueuse et je partageais ma chambre avec Rose. Ensemble avec Christian et Mason nous passâmes toute la première journée à skier, même si Christian et moi avions du mal à suivre les deux Dhampirs dont la nature compétitive les incitait à ce lancer des défis. Christian et moi finîmes par rentrer, les laissant seuls. Le lendemain, je me rendais très tôt dans la chambre de Tacha, qui apprenait à Christian la magie offensive. Je dois avouer que c’était fascinant et Rose ne tarda pas à nous rejoindre. Cependant, celle-ci ce comporta de manière inappropriée et bien que ce sois ma meilleure amie, je n’hésitais pas à lui faire remarquer son comportement de salope envers Tacha. Enfin après quelques parole, Christian et moi nous rendions au buffet des Conta auquel j’avais été invité. Bien évidemment, la réception fut ennuyeuse, jusqu’à ce nous dûmes évacuer au vu d’une nouvelle alarmante : les Strigoï avaient encore frappé. Je m’empressais d’aller prévenir Rose et alors que nous étions dans la chambre de Tacha, nous découvrîmes rapidement que huit Moroï et leurs cinq gardiens avaient été tués, trois autres Moroï étaient portés disparus et des humains étaient impliqués. Malgré que l’attaque avait eu lieu en Californie du Nord, je ne me sentais pas moins en danger car c’était une famille royale qui avait encore été attaqué, et parmi eux la mère de Mia. Rose devait également avoir peur pour moi puisqu’elle resta avec moi les heures qui suivirent. Une réunion d’urgence fut organisée dans une immense salle de banquet, qui disposait d’une estrade et de centaines de chaises. Les familles royales s’assaillaient devant, par famille, et je le fis également, déterminé à représenté les Dragomir. La réunion ne paraissait aboutir à rien, lorsque Tacha fit un discours magnifique pour incité les Moroi à ce battre et je la regardais avec admiration, très inspiré par ces paroles. Puis celle-ci fit une démonstration de magie offensive, et ce fut le chaos. Personne n’était du même avis et je quittais la salle, rejointe par Christian, Mia, Mason et Eddie castille, puis par Rose qui était accompagné Adrian Ivashkov, un Moroi de sang royal à mauvaise réputation. Celui-ci nous invitât d’ailleurs à une fête dans le spa de la résidence. Je dois avouer que je n’étais pas très d’accord en ce qui est de Rose fréquentant Adrian mais elle m’assura qu’elle ne le connaissait pas vraiment. Nous discutâmes tous ensemble un moment puis je me rendis compte que Rose avait disparue et, soule comme elle était, la peur qu’elle se soit noyée dans un bassin m’envahit. Je finis par la trouver au côté d’Adrian dans une salle de massage. Je dois avouer qu’il était assez surprenant, en revanche je fus sur mes gardes lorsqu’il nous posa à Rose et moi, des questions sur notre lien. Cependant, ce fus lorsqu’il commença à me poser des questions sur ma spécialisation et qu’il me toucha le bras, que je compris. Une sorte de déclic s’était fait, une décharge électrique me parcourue, et lui aussi devais l’avoir senti, puisqu’il me fixait avec la même expression. Nous étions tous deux spécialistes de l’esprit ! Mais je nu pas le temps de savourer cette découverte puisque les autres nous rejoignîmes et nous repartîmes vers nos chambres respectives. Le lendemain, je me précipitais dans la chambre d’Adrian. Lui comme moi était fasciné de savoir qu’il n’était pas seul au monde. Seulement Rose puis Dimitri vinrent nous interrompre et je quittais Adrian, me rendant dans ma chambre me changer pour me rendre encore à une répétition au dîner de Priscilla Voda. Seulement je rencontrais Christian qui était censé m’accompagner et- nous nous disputâmes, sur la raison de ma présence dans la chambre d’Adrian le matin. Je finis par m’y rendre avec Rose et mêlais aux Moroï. Je finis par rentrer dans ma chambre et me préparais à aller me coucher mais fus interrompu par Dimitri et la mère de Rose qui virent me poser des questions sur une fuite de Rose, Christian, Eddie, Mason et Mia ! Je n’étais au courant de rien et j’étais assez anxieuse et inquiète pour eux, et un peu déçu d’avoir été tenue à l’écart. Je me sentais impuissante alors que tous les gardiens s’activaient. Adrian et moi avions conclu que lorsque tout serrait terminé et que mon traitement serai évacué de mon système, nous nous exercerions à maitrisé nos pouvoirs. Mais pour l’instant, il fallait retrouver mes amis. J’essayais d’écouter toutes les nouvelles informations les concernant, mais je ne pouvais pas faire grand-chose. Il me fallu donc patienter et quand j’appris qu’ils avaient été retrouvé, j’étais soulager, mais la nouvelle de la mort de Mason m’abattu. Je savais que Rose devait souffrir mais je ne pouvais pas la voir, étant obliger de participer à des festivités mondaines. Cependant, je la rencontrais enfin quatre jours qu’elle fut retrouvée et je l’a réconfortait comme je pouvais. Finalement nous rentrâmes à l’académie, en compagnie d’Adrian qui allait étudier avec Mme Carmack et moi pour en apprendre plus sur l’esprit. Je continuais à prendre mon traitement et je me sentais plus proche de la magie, sans les effets secondaires. J’allais enfin apprendre à me servir de mes pouvoirs sans devenir dépressive. Et qui sais ce que l’avenir me réserve encore… espérons aucun Strigoï.




Pour conclure
Tout à une fin, après tout


Célébrité qui représente votre personnage : Ashley Benson
Code du règlement : [ok by Virgy']

Irl (facultatif)
Tu t’appelle... ? Doriane
Tu as ... ? 15 ans
As-tu lu les tomes 1 et 2 (voire plus) de Vampire Academy ? non, je n'ai absolument pas lu les livres ,meme si je créé un forum dessus
Si oui, qu'en penses-tu ? J'adore bien évidemment, si je disais le contraire je me ferais arraché le coeur XD
Comment as-tu découvert le forum ? J'ai découvert ce forum par moi meme, en le créant quelle question
Qu'en penses-tu ? tout simplement, je le trouve magnifique
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Virginia Di Murano
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MessageSujet: Re: Lissa Dragomir   Lissa Dragomir Icon_minitimeJeu 20 Sep - 16:10

Comme pour Rose (quoiqu'à moins grande échelle), ta fiche est buguée : je corrigerais ça par la suite.

Ensuite, ta fiche est, comme la mienne, évidemment, à finir. Au niveau des images, envois les mois par mp, je te les mettraient à la bonne taille et les caseraient à leur places, après tout, les images, c'est en partie mon taff.
Dans l'histoire, au début, il y a une grosse faute : il est dit dans les livres que c'est à 4 ans que tu rencontre Rose, et elle ne défend pas parce que tu as été punie à cause d'un garçon de la classe, mais parce que le professeur veux vous faire épeler "Vasilisa Dragomir" et "Rosemarie Hathaway". Elle lui a balancé un bouquin à la tête en le traitant de, je cite, "salaud fasciste", à cause de ça...
Si non, je n'ai pas vraiment approfondis la lecture, je le ferais plus tard ^^"

*C'était la minute "je fais l'admin" de Virgy'*
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Rose Hathaway
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MessageSujet: Re: Lissa Dragomir   Lissa Dragomir Icon_minitimeDim 10 Mar - 15:45

*Pour commencer ma 'tite Liss je vais m'occuper de tes images (oui bon j'ai que ça à faire et alors ?! XD ) comme ça ce sera fait.

*Ensuite, je vais prendre les nouveaux codes pour modifier ta fiche (tu me remercieras plus tard Razz )

*Et pour finir ! Je te laisse terminer ton histoire. Et oui je vais pas faire tout le boulot.
N'oublie pas de résumer ton histoire ^^

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Rose Hathaway
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MessageSujet: Re: Lissa Dragomir   Lissa Dragomir Icon_minitimeMer 13 Mar - 15:54

Bon encore une fois, sorry pour le double post. Ta présentation terminée, je peux enfin te dire que je te valide sans problème.

J'attends donc l'avis de Vivi pour basculer ta fiche ! ^^
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Virginia Di Murano
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MessageSujet: Re: Lissa Dragomir   Lissa Dragomir Icon_minitimeMer 13 Mar - 15:57

Ca marche, Liss, t'es validée !

Toi aussi, je te déplace chez ceux qui peuvent jouer !
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MessageSujet: Re: Lissa Dragomir   Lissa Dragomir Icon_minitime

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