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 Virginia Di Murano

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Célébrité : Avril Lavigne
Crédit : karen-kun (moi-même)
Âge : 20 ans
Statut : Adulte
Localisation : là où je dois être : en compagnie de mon Moroï.
Messages : 117

Virginia Di Murano
Virginia Di MuranoLa princesse aux petits codes
MessageSujet: Virginia Di Murano   Virginia Di Murano Icon_minitimeMer 5 Sep - 18:52

Virginia Di Murano
« La vie nous laisse le choix d’en faire un accident ou une aventure.  »

Identity Card
Nom :
Di Murano

Prénoms :
Virginia

Âge :
20 ans, née le 18 décembre 1993

Race :
Dhampir

Situation :
Adulte, Gardienne d'Adrian Ivashkov





The Special One
De petites particularités, Virginia en a pleins.
La plus évidente est sans doute qu'elle est gardienne, ce qui est plutôt rare.
A côté de ça, on peut aussi souligner qu'elle est gauchère...
On peu sans doute aussi dire que le fait qu'elle soit catholique dans un "monde" orthodoxe est l'une de ses petites particularités.
Côté surnom, elle en aligne un bon nombre : Ginia, pour ses parents, Gigi est celui que lui donne son (demi-)frère, Virg' ou Virgy' sont les diminutifs que les américains lui donnent, parce qu'ils sont bien les seuls à pouvoir le prononcer, Vivi intervient aussi quelque fois, mais nettement nous souvent (allez savoir pourquoi !) et enfin "Grenouille de bénitier" est celui dont elle à hériter de son Moroï, Adrian Ivashkov.

The Psychic One
Professionnelle est le premier mot qui vient à l'esprit quand il s'agit de décrire la caractère de la gardienne Di Murano. Au premier abord, elle n'est qu'une gardienne parmi les gardiens, rigoureuse, silencieuse et neutre. Tant qu'elle ne sort pas de sa position, elle peut paraitre distante ou même froide, ce qui n'est pourtant pas le cas du tout.
Au contraire, c'est une jeune femme assez enjouée et qui part facilement en plaisanteries. Elle aime beaucoup rire et perd rarement une occasion de la faire bien qu'elle ne soit pas excellente blagueuse, elle sait où termine le sérieux pour commencer l'amusement, et inversement.
Surtout l'inverse, d'ailleurs, puisqu'elle est la première à le mettre de côté si une situation de crise venait à se présenter. Bien que d'elle même, elle ne le reconnaisse pas, elle est tout à fait apte a prendre une position de leader, si besoin est. Sa nature calme et discrète l'incite à s'en remettre aux ordres de quelqu'un et il est assez vrai qu'elle ne sait rien faire mieux qu'obéir, sauf peut-être se battre, mais cela n'empêche pas qu'elle est tout a fait apte à prendre les devants si c'est ce que l'on attend d'elle... Ou que personne ne prend ce statut à charge et que donc l'anarchie se met en place. La voir aboyer des ordres est assez impressionnant, justement par le fait qu'elle ne se fait pas remarquer en temps normale. Non seulement tous les gardiens sont autant entrainés à se battre qu'à se plier aux règles, mais en plus, elle fait partie de ses gens qui imposent le respect sans aucune difficulté, ce qu'elle déteste.
Virginia reste cependant une personne affectueuse qui se prend assez facilement d'amitié pour quelqu'un. Dans une moindre mesure, souvent, puisqu'elle n'apprécie pas vraiment d'être trop proche des gens : si jamais il devait arriver quelque chose, il vaut mieux qu'elle puisse rester obstinément neutre... Ce qui ne l'empêche pas d'adorer donner de petits surnoms aux gens qui font partie de sa vie. Il n'en est pas moins vrai qu'elle reste énormément en retrait - comme cela a déjà été martelé à plusieurs reprises - c'est chez elle un entêtement chronique que de vouloir rester à sa place, ne pas déranger les autres - ce qui l'amène à garder ses surnoms pour elle -, au point même qu'elle ne sait pas se mettre en avant, dans les situations qui le nécessiteraient. Pire encore, elle ne connait pas ses propres qualités. Une fait exception pour confirmer la règle : elle se sait douée dans le domaine des acrobaties et de la gymnastique pour en avoir fait entre 3 et 5 heures par jours de ses trois à ses dix ans.
En dehors de ça, elle a un mal fou à en s'en trouver d'autres et se considère généralement nulle en tout, surtout au combat alors qu'elle y excelle tout particulièrement. C'est un défaut donc la plus part de gens s'agacent ou ricanent. A n'en pas douter, elle fait parti des meilleurs, mais sa manière de toujours se rabaisser choque très vite bien qu'il ne contraste pas vraiment avec sa nature calme et en retrait.
Du reste, dès qu'il s'agit de parler de son ressentis ou plus particulièrement de ses sentiments (... pour le Moroï qu'elle protège...) elle rougit à la vitesse de l'éclaire et bafouille très vite. Même si son attitude pourrait laisser penser le contraire, ce n'est pas une fille craintive. Quand bien même elle ne connait pas sa vraie valeur, elle avance avec assurance dans son monde. Evidemment, dès qu'il s'agit d'histoire de coeur, ce n'est pas la même paire de manche, mais globalement elle garde la tête haute et fait front, quitte quelques fois à "rationalisé" ce qui lui échappe. Bien sûr, ce qui est parfaitement naturel, comme les vampires et la magie, ne l'ai absolument pas pour les humains. Cependant, c'était sa réalité et elle n'a pas besoin de faire intervenir Dieu dans tout ça.
Si elle ramène tout au réel, c'est une sorte d'excès de zèle rendu à son intelligence. On ne s'en douterais pas, mais elle est plutôt futée et sait faire preuve d'une logique imparable. Seulement, c'est là encore l'une de de ses multiple qualités poussées dans l'excès et qui deviennent un défaut, puisqu'elle se fie beaucoup trop à la logique justement, et ainsi relègue son instinct à l'arrière plan. Il ne refait généralement surface que dans les cas d'extrême urgence (voire histoire, une seconde fois) ou en combat.

The Pretty One
Etant une dhampir, Virginia n'est pas immensément grande, même si elle se défend, du haut de son mètre soixante-dix. Sa silhouette générale, en revanche, à bien moins pris de ses origines dhampir que Moroï. Oh bien sûr, sa poitrine et ses hanches sont plus nettement dessinées que sur les vampires de sang pur, elle n'est est pas moins un peu plus fine que la majorité des femmes de sa race. En revanche, elle a la même peau claire que les autres vu ses rares expositions au soleil étant donner sa vie nocturne imposée par le monde dans lequel elle vie. Elle n'échappe pas non plus à la musculature claire et parfaitement définie des siens mises encore d'avantages en avant par ses longues années d'entrainement.
Malgré son choix de vie, elle a prit le paris de garder les cheveux longs ce qui, a vrai dire, lui réussi assez bien dans ces rares instants où elle les porte détachés. C'est plutôt rare, bien sûr, vu sa condition, mais il n'est pas impossible de voir libre sa chevelure blonde aux étonnantes racines noires qui n'ont aucun rapport avec une quelconque coloration. Libres, le plus bas de son dégradé au lui arriver à peu près au milieu du dos, le reste du temps, elle les rassembles au dessus de sa nuque en une coiffure étrange dont elle seule semble avoir la maitrise grâce à un pique à cheveux.
Nuque qui en l'occurrence porte une marque de plus qu'elle ne le "devrait". Théoriquement, vu qu'elle est en poste depuis deux ans et qu'elle n'a jamais quitter la Cour depuis son assignation, il n'a aucune raison pour qu'elle ai autre chose de tatouer que la ligne serpentine, un peu comme un "S" à l'horizontale et aux pointes incurvées, qui se trouve être la marque de la promesse et qu'elle a reçus le jour où elle a prêter serment, comme tous les autres de sa génération et plus encore. Sur la même ligne, comme perdu, se dessinent deux éclaires entrecroisés : un molnija, signe qu'elle a abattu un Strigoï. Normalement, ce tatouage aurait du ce situer en dessous, mais comme il était malheureusement présent avant, cette antériorité est exprimée pas une juxtaposition.
De visage, elle a encore les traits fins d'une jeune adulte, et pour cause, elle y est sensiblement étant donné qu'elle n'a que 20 ans. Cependant l'impression qu'il donne varie beaucoup selon son expression. Quand elle affiche la neutralité propre aux siens, elle peut facilement paraitre plus âgée - de peu, mais tout de même - et au contraire, il suffit d'un sourire franc pour la rajeunir. Le plus notable est sans doute les instants où elle évoque ses sentiments (en particulier son amour), elle perds alors tout ses moyens, rougis et bégaye alors c'est tout juste si on lui donnerait quinze ans. On y note particulièrement ses yeux, toujours bleus, qui se nuancent facilement selon la luminosité. La majorités du temps, ils tirent légèrement vers le gris ou moins souvent le vert. Si elle a l'occasion s'exposer au soleil, en revanche, ils s’éclairciront visiblement sans pour autant arriver à un bleu "glacé" comme on l'entend dire.
La seule autre partie de son corps qui mérite une brève attention sont ses mains. Contrairement à ce à quoi ont pourrait s'attendre, ses doigts n'ont rien de particulièrement longs et fin, ils sont le contraire même de ceux des pianistes. En effet, ils sont plutôt courts et assez larges - bien évidemment, dans la limite des proportions physiques normales, elle n'est pas difforme non plus !. De son côté, sa peau tannée trahie cependant les heures d'entrainement qu'elle a accumulée depuis son arrivée à l'académie, mais a réussi à l'empêcher de devenir réellement caleuse, en tout cas pour le moment, par le fait qu'elle prenne grand soin d'elle.
Dans son style vestimentaire, Viriginia pourrait passer pour une femme d'affaire, ou dans son petit univers, à une alchimiste tant elle est strict vis-à-vis de sa tenue. Le plus souvent, elle porte un chemiser (dont seuls les manches s'adapteront à le température) et un gilet gris ou noir ainsi qu'un pantalon te toile sombre même le plus souvent ébène "au moins, ça va avec tout" qui la laisse libre de mouvement - elle a définitivement abandonné l'idée de porter des jupes ou des robes le jour de son entrée en collège. Enfin ça, c'est quand elle est au service de Monsieur Ivashkov ! Durant les rares congés qu'il peut lui arriver de prendre, sous la contrainte la plus part du temps, elle n'hésitera pas à se montrer très féminine, en revenant temporairement sur son choix de se condamner au pantalon et se laissant également aller au point de porter des talons plutôt hauts, ce qu'elle ne ferait jamais en temps normal. Mais même si ses fringues sont plutôt androgyne, elle se plait à se maquiller un peu. Il est essentiel d'insister sur le "peu" mais elle se farde un peu chaque jour. Du noir autour de ses yeux pour en souligner le bleu, aussi sombre soit-il, du mascara, pour la même raison et un léger brillant sur ses lèvres.

The Funny One
Comment ça, tu t'ennuie ? : L'entrainement, ça compte ? Sinon euh... Je lis... Beaucoup. Et j'aime apprendre de nouvelles langues aussi.
Color bomb : Bleu.
It smels like flowers ! : Hum... J'ai une collection de parfums tellement impressionnante que je ne saurais dire lequel est mon préféré, mais j'aime beaucoup la lavande et la rose.
*Miam* : Riso a la Romana !
*Beurk !* : Vous ne vous moquerez pas, hein ? Les légumes verts.
T'as réussis à ramener des bonbons ? C'est vrai ? : Ce n'est pas vraiment un bonbon, mais en bonne italienne, je suis fan des glaces de chez moi.
Don't stop the music ! : It's My Life ~ Bon Jovi.
Dixit moi-même : Che scemo ! (Quel idiot !)
Don't be afraid : Ne pas parvenir à protéger mon Moroï... Et perdre contact avec mon demi-frère. Ma famille est déjà toute disloquée, vous savez... *snif*

Sans dessus-dessous : Je privilégie le pratique au mignon, désolée de vous décevoir.
Best kept secret : A mes 19 ans, j'ai finis tellement ivre que je crois que j'ai embrassé deux filles... Deux alchimistes... Mais, je m'en rappel pas.
Perfection means... : Ce que t'aurais préféré faire au lieu d'être là.
Même pas vrai, d'abord ! : Il n'est rien que je préfère à mon travail, c'est clair ?




Contextualisation
Gardienne très impliquée dans la mise en place de stratégie de défense... Et de la tentative de sauvetage du groupe d'étudiant, Virginia, aussi et surtout gardienne d'Adrian Ivashkov, c'est retrouvée, une fois les péripéties des sport d'hivers achevée, embarquée à l'académie Saint Vladimir, qu'elle a quitté deux ans auparavant, après avoir finis ses études.

This is the story of my life
Si vous cherchiez une moroï gymnaste de renom dans sa jeunesse, ce n’est pas vers moi qu’il fallait se tourner, mais vers Federika Di Murano : ma mère.
D’habitude, durant leurs jeunes années, les moroï – aussi bien royaux que roturiers - et les dhampirs  intègrent  une académie comme – par exemple - Saint-Vladimir, mais par un tour du destin, elle a passé toute sa jeunesse parmi les humains et est devenue une véritable star pour eux, dans le domaine de la gymnastique. Afin de se prémunir au maximum de la lumière du soleil, elle avait utilisé une « maladie » bien connue des humains et prétexter être une enfant de la lune.
Ainsi elle avait pu s’entrainer et enchainer titre sur titre sans que sa vie nocturne ne soit jamais mise en doute. Mais toutes les bonnes choses ont une fin et finalement, ses rares déplacements à la lumière avait fini par incommoder « Mademoiselle » qui pour toute reconversion choisit la politique.
Elle n’était pas née italienne, mais roumaine seulement pour des questions de compétitions internationales, avait émigré de son pays natal tant dis que sa sœur Rhonda partait pour la Cour royal. Je n’ai aucun souvenir qu’elle m’ait donné un jour son nom de famille originel, mais je savais que c’était celui que portait mon demi-frère Ambrose. Si je ne portais pas le même, ce n’était pas parce que je portais celui de mon père, mais parce qu’elle était entre temps devenue veuve. En effet, dans la catégorie histoires d’amours rocambolesques, maman avait écopé du summum.

Dans un premier temps, elle était tombée très amoureuse du père de mon demi-frère. Elle espérait beaucoup de cette histoire, elle était persuadée qu’il était le premier et un dhampir mais le bon, seulement ce n’était pas le cas : dès qu’il apprit qu’elle était enceinte d’un petit garçon, il disparut de la circulation. J’ignorais tout de lui, mais je ne tenais pas à savoir quoique ce fût. Il avait abandonné une partie de ma famille, je ne souhaitais pas en savoir plus. Surtout en tenant compte du fait que les hommes dhampirs étant tous ou presque gardiens, très peu étaient pères de famille.
Par la suite, elle avait fait la connaissance d’un moroï roturier, comme elle, doué d’une certaine influence à la Cour. Leur histoire était allée étonnamment vite de sorte qu’au bout d’un an et demi, ils se marièrent ce qui permit à ma mère de prendre son nom de famille – qui était également le mien. Trois mois avant leur mariage, Monsieur Di Murano était parvenu à se faire assigner un gardien…
… Qui fût le troisième homme à partager la vie de ma mère et le seul que je connaissais. Pourquoi ? Parce qu’il était mon père. Sean Benet était son nom. Seulement voilà, cinq mois plus tard, le tendre mari de ma mère vint à mourir. Par un coup du sort, Sean parvint à devenir le gardien de maman et ne pas être envoyé autre part. C’était là que les éléments étranges interviennent : le mois suivant, je naquis.

Par le fait de son époux, maman était parvenu à se faire un tant soit peu entendre, à la Cour. Et comme pour être riche, elle l’était, elle n’avait sans doute pas eu trop de difficulté à garder Sean, en effet.
A ma naissance, elle avait déjà cesser le gymnastique depuis un peu plus de  deux ans et comme sous-entendu, avait complètement changer d’activité pour se lancer dans la politique vampire.

Comme Federika avant moi, je grandis parmi les humains, ce qui me causa nettement moins de tords qu’a elle étant donné que je supportais parfaitement la lumière du jour. Puisque c’était également le cas de mon père, c’était lui qui m’amenait à l’école chaque matin. Le soir, cela variait selon la saison. En hiver, comme il faisait nuit tôt, j’avais le droit à sa présence. Le reste du temps, papa revenait me prendre.
Maman souhaitant faire de moi une gymnaste comme elle l’avait été, elle c’était arrangée pour avoir accès au gymnase le plus proche durant la nuit et m’entraînait elle-même… En plus des cours qu’elle me faisait prendre en club, bien sûr. J’étais plutôt douée, d’après elle et ma professeure et cela ne me déplaisait pas. Je grandis donc dans la perspective de suivre ses pas. Seulement ma perspective changea complètement quelques mois avant ma rentrée en collège à l’instant précis où j’eus une discussion très sérieuse avec mon père…
Le questionnant sur son métier, il m'expliqua tout ce qu'il y avait à savoir, du début de la formation au travail en lui-même. Finalement, je lui demandai si des femmes exerçaient ou non se métier. Il rit et me répondit que oui. Mon choix était fait, je voulais devenir gardienne.

Au dîner, mon frère fut le premier à aborder un changement de carrière, puisqu'il dit à ma mère qu'il ne souhaitait pas finir son apprentissage et devenir gardien mais rejoindre notre tante Rhonda. Sans que j'ai jamais réussi à savoir pourquoi, elles ne s'appréciaient pas. Enfin... Maman n'aimait pas sa soeur, parce que notre tante en soit, n'avait rien contre Federika.
Maman s'entêta longtemps à refuser, mais après mon intervention quant à mon propre désir de choisir moi-même mon avenir et quelques remarques de la part de mon père, il fut convenu qu'Ambrose devrait continuer encore trois ans ses études et pourrait ensuite faire ses choix définitifs. Il en fut de même pour moi... Mais le ton monta bien d'avantage puisque ma mère eu l'audace de dire qu'elle m'aurait préférée catin rouge que gardienne.

Finalement, la rentrée vint et mon acclimatation fut difficile : me battre avec mes camarades n'était pas vraiment une chose aisée pour moi. Mais le souvenir du fait que le choix était le mien et uniquement le mien acheva de me convaincre que je devais tout faire pour y arriver. Déterminée, je retournais chaque soit au gymnase pour m'entraîner un peu plus que les autres au point que je pris le dessus sur toute ma classe bien que je restais intimement persuadée qu'ils laissaient volontairement gagner "la petite italienne".
A force d'heures supplémentaire, je croisais assez fréquemment des gardiens qui acceptaient de me donner un coup de main. Finalement, à mon entrée en seconde, l'un d'entre eux, ayant remarqué qu'il me croisait souvent, décida de m'accorder un entrainement régulier. Une fois toute les deux semaines, il se libérait deux heures rien que pour me donner des cours supplémentaire. Rapidement, Chris Redkins devint un ami pour moi.
Un ami qui, en terminal, fit partie de l'escorte que j'accompagnais, les gardiens étant trop peu nombreux.

Un groupe de jeune Moroï ayant nécessité de rejoindre la Cour nous embarqua des l'histoire ; Denis, Jeff et moi, tous les trois en dernière année. C'était au mois de décembre. La neige tomba fort, les jours précédents, nous forçant à quitter le contexte sécurisé de l'académie pour aller à l'aéroport le plus proche. Pendant le trajet, les quatre gardiens et nous mirent en place les méthodes de défenses.
De fait, elles ne suffirent pas.
Quand Chris et nous - j'entendais par là les élèves - sortîmes, il ne fallu pas trente mètres avant de nous faire attaquer par un Strigoï. Chris fut le premier à succomber. J'osais espérer qu'il n'eut pas souffert. Le suivant sur la liste fut Denis qui vola à plusieurs mètres pour finir inconscient. Jeff fut rapidement tétanisé et je me retrouvai seule capable de combattre.

J'aurais eu comme solution de facilité d'abandonner tout le monde là et de filer me mettre en sécurité au près des gardiens confirmés, mais mon sens du devoir m'en empêchait. Ainsi, je me battis contre une créature des centaine de fois plus forte que moi. Mais par un véritable miracle, je parvins à la vaincre. Seule. Jeff reprit bien ses esprits quelques temps avant la fin de l'affrontement mais il eut la réaction normale de n'importe quel élève et courut se mettre à l'abris.
L'un des gardiens revint juste après que j'eus planter mon pieu dans le coeur du Strigoï. D'un simple regard, il me renvoya m'occuper d'avertir les autres et de mettre les Moroï à l'abris comme cela aurait du être le cas si la situation avait été différente. Bref, j'ai ramené les autre adolescents à l'intérieur au pas de course, encadrée par les gardiens et Jeff. Peu de temps après, celui qui était venu à ma rencontre était arrivé, soutenant Denis.

Cette expérience, en plus d'un statut de Déesse dans ma classe, me valu de perdre une semaine entière l'usage de la parole. Choc émotionnel, avait dit le médecin, me laissant comme possibilité de guérison la prière. Néanmoins, je recouvrai ma voix juste avant mon départ, grâce à mon frère. Il vivait à la Cour avec ma tante depuis qu'il n'était plus contraint de suivre sa formation de gardien. Ayant appris ma venue, il était venu me voir.
Sans que je comprenne quel était le but profond de sa démarche, il aborda l'escorte. Les instants suivants étaient très flous pour moi, je me rappelais uniquement d'avoir finis par lui hurler dessus... Pour terminer dans ses bras en larme.

A notre retour à l'académie, mes camarades et moi allions bien. Parfaitement bien. Et les gardiens aussi. Mais il manquait Chris, décédé. Il ne fallut pas plus d'une journée de battement pour que l'on ne me tatoue mon premier molnija. Je crus que j'allais crier de douleur quand l'aiguille du tatouer passa sous ma peau, mais je n'en fis rien.
Après ça, les gardiens me félicitèrent tour à tour bien que je n'estimais pas le mériter et mon rang dans la classe monta encore. Mais par chance, je parvins assez rapidement à être celle qui s'efface complètement - ou presque.

Finalement, j'eus mon diplôme avec brio et des notes bien au dessus de ce que je méritais. Peu de temps après, je me retrouvais de nouveau à la Cour pour me voir assigner un Moroï.
Quelle ne fut pas ma surprise quand la Reine Tatiana elle-même de demanda, lors du banquet qui permet à gardien et employeur de faire connaissance. Elle ne voulait pas de moi dans la garde royale - Heureusement ! - mais souhaitait que j'assure la protection de son petit neveu Adrian.
Cette demande m'honorait autant qu'elle me terrifiait. Je ne me sentais pas à la hauteur. Pas du tout même. Mais je ne pouvais pas décliner une demande de sa Majesté.

Il fut donc convenu que je prendrais du service dès le lendemain. Durant un mois, je suivrais tous les faits et gestes du Moroï et, à partir du mois suivant, je pourrais disposer de mon temps au même titre que les autres gardiens de la Cour.
Dès le lendemain, je fis la connaissance du jeune homme en question et de sa famille. Son père se mit étrangement en colère à l'idée qu'il soit protéger. Et encore plus parce qu'il le serait pas une fille. J'aurais pu le comprendre si cela n'avait pas éveiller une forme de colère en moi. Une colère qui n'était pas dirigée vers lui mais vers ma mère. Ils avaient les mêmes opinions sexistes et rien que pour ça, je savais que je ne m'entendrais pas avec lui. Au fond, cela avait très peu d'importance, puisque je n'aurais pas vraiment affaire à lui. De son côté, Madame Ivashkov ("Mais appelez-moi Daniela") se montra nettement plus aimable et alla chercher son fils. Lui se montra très indifférent quoiqu'un peu surpris.
Finalement, une fois les présentations faites, un des domestiques fut envoyer avec moi à la résidence des invités pour prendre mes bagages et m'installer dans une de leur multiples chambre. Désormais, je vivrais sous le toit d'une famille royale.

Il me fallut nettement moins de temps que je le croyais pour m'acclimater à la vie chez eux. Le plus dur fut tout de même de me faire à la curiosité - quelque fois embrassante - d'Adrian. Rien de bien méchant, c'était évident, mais e ne parvenais pas toujours à rester à ma place de gardienne. Ce garçon à peine plus vieux que moi était d'une étonnante gentillesse. Quelque chose en lui que je ne saurais qualifier me donnais envie de le connaitre et de rester près de lui. Bah, ça ne serait pas bien dur avec mon boulot !

Le mois de décembre revint avec ses funestes souvenirs et aussi mon anniversaire. Ma mère tint à me faire revenir - de force ou presque - en Italie pour que je puisse y fêter mon anniversaire avec mes deux aciennes amies, Amalia et Chiara.
Ce fut d'ailleurs elles qui vinrent me chercher à l'aéroport de Venise en ayant pour mission de me ramener à Mura. Tout ce serait passer à merveille si je n'étais pas une dhampir... Ou qu'elles ne portaient pas le lys des alchimistes sur leur joues. Elles avaient envie de savoir ce que j'étais devenue c'était évident, mais d'un autre côté, être en présence d'une personne de cet race contre-nature qu'était un dhampir... Je pouvais comprendre leur réticence. Mais finalement, la plus douce des deux jumelles, toujours aussi maligne qu'elle l'était enfant, parvint à trouver un moyen de leur permettre de rester avec moi sans risquer de s'attirer les foudres de leur supérieurs.
Grâce à la ruse de Chiara, nous purent passer beaucoup de temps ensemble et même faire les boutiques et fêter mon anniversaire, dans un de ces restaurants huppés  qui devient un discothèque minuit passé.
Ce soir là, j'ai finis ivre et morte de rire. Ce n'était pas si désagréable à vrai dire, mais je n'irais pas recommencer : trop dangereux.

Par la suite la vie à repris comme elle l'était depuis le mois de Juillet et ce ne fut qu'au mois de décembre suivant que les choses tournèrent encore au vinaigre.
Décidément, ce mois devait être maudit.
L'une des branches de la famille Babica - pas l'une des plus étendues d'ailleurs - ayant eu quelques soucis de sécurité, les élèves de l'académie Saint-Vladimir, leurs familles, et quelques invités supplémentaires - dont Adrian tint à faire parti - se rendirent dans une résidence de sort d'hivers gracieusement ouverte par ses propriétaire. Tout aurait été assez sympathique si je n'avais pas, une année de plus dans ma vie, oublié mon anniversaire. Autant cela ne me dérangeait pas, autant que ce soit pour la disparition d'un groupe d'étudiant, autant Moroï que dhapmirs me posait davantage de soucis, surtout après l'attaque qui avait eu lieu.

Ce fut un sacré fatras auquel je ne pus ne pas me mêler. Après tout, le danger menaçait tout le monde, pas seulement les fugueurs. Nous étions tous menacés. Je tins néanmoins à assurer la sécurité de la résidence quand un groupe partit chercher les adolescents. A l'origine, je devais accompagner le groupe, mais c'était une bien trop grande responsabilité pour moi.
A l’exception de l'un des adolescents, Mason Ashford, ils revinrent tous saints et saufs enfin plus ou moins : l'une des deux filles parties dans cette aventure folle ayant fait la même affreuse expérience que celle que j'avais faite, deux ans auparavant.

A la suite de ça, Adrian me fit retourner à l'académie parce qu'il avait fait la connaissance de la Princesse Vasilisa Dragomir. Je ne compris pas bien ce qu'ils avaient découvert tous les deux, mais il y avait une histoire de recherche et d'apprentissage là-dedans. A mes yeux c'était étrange, mais de toute manière, je n'étais pas là pour comprendre ce qu'il faisait - ce que peu de gens parvenait d'ailleurs à faire - mais le suivre et le protéger, ce que je fis.

Et voilà comment je me retrouvai en tant que gardienne là où j'avais fait mes études.



As a Conclusion
Toutes les bonnes choses ont une fin

Célébrité qui représente votre personnage : Avril Lavigne
Code du règlement : [OK by Rose]

Irl (facultatif)
Tu t’appelles... ? Alexia
Tu as ... ? 17 ans, maintenant
As-tu lu les tomes 1 et 2 (voire plus) de Vampire Academy ? Oui tous, et j'ai relus les deux premiers pour ici.
Si oui, qu'en penses-tu ? J'aaadoooore ! *w*
Comment as-tu découvert le forum ? Les fonda avaient besoin d'une codeuse >.>"
Qu'en penses-tu ? Etant dans l'incapacité d'être objective, je ne répondrais pas.



Dernière édition par Virginia Di Murano le Mer 27 Aoû - 19:18, édité 8 fois
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Rose Hathaway
Rose HathawayJ'suis pas rousse mais j'suis rebelle
MessageSujet: Re: Virginia Di Murano   Virginia Di Murano Icon_minitimeDim 16 Déc - 17:36

Bon premièrement, j'adore ta fiche. Tu as réussi un grand nombre de fois à me faire rire ^^

Ensuite viennent les petites critiques :
*il y a pas mal de fautes d'orthographes, désolée j'ai pas pu m'empecher de les remarquer ^^"
*et le truc pour lequel tu vas me tuer , il y a un petit problème de cohérence que je viens juste de remarquer.
Dans ton histoire, les novices participant à l'escorte n'ont pas de pieux, pourtant les novices recoivent des pieux en argent lorsqu'ils commencent leur dernière année, c'est précisé dans le livre.
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Rose Hathaway
Rose HathawayJ'suis pas rousse mais j'suis rebelle
MessageSujet: Re: Virginia Di Murano   Virginia Di Murano Icon_minitimeMer 13 Mar - 11:15

Bon ben ma petite vivi, moi Je te valide sans probleme. Au contraire j'ai hate de commencer à te torturer ! Razz
Il ne manque plus que l'avis de Lissa. Mais ça ne devrait pas tarder. tu l'as maximum cet aprem. Bon ben c'est tout...pour le moment .

Hs: désolé pour le double post.
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Lissa Dragomir
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MessageSujet: Re: Virginia Di Murano   Virginia Di Murano Icon_minitimeMer 13 Mar - 14:48

Désolé mais ..... je valide ! Je t'ai fais peur hein ? Sinon, l'histoire est bien raconté et ... bah j'ai rien d'autre à dire.
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Rose Hathaway
Rose HathawayJ'suis pas rousse mais j'suis rebelle
MessageSujet: Re: Virginia Di Murano   Virginia Di Murano Icon_minitimeMer 13 Mar - 14:51

Moi si ! Je valide, c'est une VDM ! XD

Désolée j'étais obligée !
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MessageSujet: Re: Virginia Di Murano   Virginia Di Murano Icon_minitime

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Virginia Di Murano

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De la paperasse, il y en a partout,
L'avantage, c'est qu'ici, elle se range vite

 :: Que les joueurs... Jouent !
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